Ghylaine Manet
Formatrice en sophrologie, psychanalyste, psychopraticienne FF2P, certifiée EMDR Europe et hypnose Ericksonienne, auteure, conférencière
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Interview TV dans l'émission Alizée sur RFO (France Outre-mer) le 28 Juin 1991

Écrit par Ghylaine Manet le 3 Juillet 2025

Interview TV dans l'émission Alizée sur RFO (France Outre-mer) le 28 Juin 1991

 

Texte de la conférence (30 premières minutes)

[Intervenant 1]

Bonsoir et merci de nous retrouver comme chaque mois puisque c'est un rendez-vous maintenant que vous connaissez bien. Alizé, dernier vendredi de chaque mois. Le stress vous connaissez et moi aussi.

 

Alors peut-être ce soir une recette, peut-être une façon de le combattre, en tout cas de le maîtriser avec notre invitée. Guylaine Manet, bonsoir et bienvenue sur le plateau d'Alizé. Alors une licence de philosophie, un CAPES de lettres modernes, 20 ans dans les collèges et les lycées lorsque l'on sait que votre première nomination ce fut Mante-la-Jolie, on imagine.

 

Et ça ne vous suffit pas, vous voulez aller aussi plus loin en matière de théâtre, dans le domaine de la littérature puisque vous écrivez. Et pour faire encore un peu plus, parce que ce n'était pas suffisant, vous volez maintenant au secours du stress. Alors on va voir ensemble comment, avec quelles méthodes et quels ouvrages, puisque vous venez de signer un ouvrage.

 

Mais moi je voudrais qu'ensemble, pour commencer cette émission, on regarde une situation, vous allez voir laquelle, qui même au plus haut niveau de responsabilité nationale, eh bien c'est une situation qui a sans doute quand même été très stressante. Regardez. L'heure est aujourd'hui venue.

 

L'heure est aujourd'hui venue de réfléchir dans cet esprit à la nature et au nombre des composantes stratégiques de demain. Voilà donc première femme, premier ministre, c'est du chahut dans la classe de l'Assemblée, j'imagine. Le professeur Cresson n'a sans doute pas lu votre livre que je voudrais citer puisqu'il s'agit de Vivons l'école autrement par la sophrologie.

 

Quand je parle de chahut, elle n'a pas fait attention à sa voix, elle n'a pas fait attention à la position de son corps. Est-ce que c'est votre sentiment là, devant tous ses élèves ? Oui, c'est-à-dire qu'il faut dire qu'elle est dans une mauvaise position, le premier ministre devant beaucoup d'hommes qui en profitent un peu.

 

Et je pense que certainement son stress est un peu naturel. Bon, c'est une situation quand même assez difficile pour elle, ça c'est certain. Seulement, elle semble pas avec son corps bien bien placée pour gérer ce stress.

 

Elle devrait être complètement enracinée, droite, avec disons un regard sur toute cette Assemblée et naturel et positif. Alors qu'elle a une voix aiguë et qui martèle un peu, alors bon, c'est un peu du chahut. Mais après, c'est ce qu'elle va dire, c'est son contenu qui va calmer le reste.

 

Alors on reviendra un petit peu sur cette notion de chahut, de classe, puisque c'est un des éléments de votre livre. Guylaine Manet, je le disais tout à l'heure, vous venez de signer un livre qui s'appelle Vivons l'école autrement par la sophrologie. En fait, votre discours, c'est un petit peu d'apprivoiser le stress et de le prendre dès le plus jeune âge à l'école par la sophrologie.

 

Mais je me suis aperçue en lisant votre livre finalement que tout le monde ne connaît pas forcément ce qu'est la sophrologie. Alors en trois mots, qu'est-ce que c'est ? C'est pas de la magie, c'est pas une religion, c'est pas de la médecine.

 

Non, ça se situe entre la médecine et la psychologie. La sophrologie est en fait l'étude de la conscience humaine et ça, c'est très important. L'étude de ces modifications, car nous pouvons modifier nos niveaux de conscience pour des buts thérapeutiques et des buts pédagogiques.

 

Donc, en fait, ça a été créé par le docteur Caicedo et ce sont que des médecins qui, au départ, ont développé cette sophrologie. Le docteur Hubert et le docteur Abrézol sont des stomatologues et c'est surtout pour calmer la douleur, le stress que tout le conduit à faire des études pour améliorer cet état parce que c'est difficile de soigner quelqu'un qui souffre. C'est d'abord ça et en fait, ils ont donné des techniques qui sont nourries des traditions orientales mais des techniques occidentales qui va très bien pour l'homme moderne.

 

Et ces techniques gèrent le stress à partir du corps. Alors concrètement, comment ça se passe ? Vous êtes en situation d'écoute ?

 

Il y a quelqu'un qui est à côté de vous, qui vous parle ? En fait, on parle d'une séance de sophrologie courante. La première séance de sophrologie commence par la relaxation du corps.

 

Je mets les gens au sol parce que c'est plus facile pour la première fois coucher mais ensuite on fera autrement. Donc, relaxation musculaire, tonus musculaire, relâchement complet du corps, ensuite vide mental et nous arrivons à un seuil très précis que nous travaillons. C'est le seuil entre le sommeil et la veille et il faut que le sujet maîtrise exactement cette situation que tout le monde connaît.

 

C'est la situation lorsque le réveil sonne et que vous voulez vous lever mais que vous restez un petit peu dans une frange de demi-conscience contrôlée, d'une conscience contrôlée quand même et c'est ce niveau de conscience que nous travaillons. Nous restons la première séance, nous essayons de maîtriser ça et ensuite nous allons travailler à l'intérieur de cette zone. Et bon, quand le travail est terminé, nous avons une technique de désophronisation et de retour à la vigilance dans un esprit positif.

 

Vous êtes une femme très technique. Alors moi je voudrais être peut-être un peu moins technique et vous montrer le retour d'un certain nombre d'interviews que nous avons conduit auprès de jeunes femmes à qui on a demandé tout simplement ce que représentait le stress pour elles et puis sans la sophrologie parce que tout le monde n'a pas de sophrologue proche de chez soi, comment elles le maîtrisent ? Alors voyons ce que ça donne.

 

En tant qu'enseignante, pour moi le stress c'est le jour de la rentrée, quand je prends contact avec mes élèves que je ne connais pas pour la première fois. C'est un peu angoissant, on ne sait pas comment ils vont être, comment ils vont réagir et c'est souvent le premier contact qui décide de toute l'année ensuite. Moi je suis une hôtesse solaire, pour moi le stress c'est que je suis obligée de tout organiser pour ma fille, pour la cuisine avant le départ.

 

Au moment du décollage et de l'atterrissage, je suis très nerveuse, plutôt bien concentrée, pour la sécurité ça c'est normal. Et bien c'est ce que je vis en ce moment face à une caméra par exemple. Un moyen pour le maîtriser ?

 

Un moyen, c'est pas évident, on essaye la veille de se reposer au maximum. Et puis quand je rencontre les élèves pour la première fois, j'essaye de repérer des visages connus. Il y a quelques élèves que je connais et ça ça m'aide au niveau de la classe pour le premier contact.

 

Et puis surtout avoir bien préparé tout ce qu'on doit faire le premier jour. Voilà et puis donner l'impression que l'on est bien physiquement, donc soigner l'apparence extérieure aussi, ça aide à être bien ce jour-là. Dans l'avion, j'essaye de faire un petit gymnastique aux pieds et les mains, comme ça, pour enlever la fatigue.

 

Je vous vois sourire parce que j'ai le sentiment qu'en fait vous entendez sans doute un discours que vous connaissez bien. C'est vrai que quand on est stressé, on essaye par tous les moyens de se relaxer. L'élément physique intervient complètement.

 

J'ai lu dans votre ouvrage qu'en fait il y a deux stress. Il y a un bon et un mauvais stress. Oui, mais je voudrais revenir un tout petit peu sur ce qu'on voit parce que tout à l'heure je vous ai décrit une séance, la première séance d'un sophrologue pour quelqu'un qui veut entreprendre une série de séances pour apprendre à se relaxer.

 

Mais là, ce qui me frappe, c'est que jamais ils ne pensent à leur respiration. Alors dites-leur, profitez-en. C'est-à-dire qu'en fait, bon par exemple, on parle d'une personne, d'un professeur.

 

C'est votre cible ça le professeur. C'est courant, c'est pas une cible quand même. Moi je les aime beaucoup.

 

C'est courant, vous avez une situation nouvelle, un peu stressante. Déjà, respirer profondément abdominal, respiration abdominale et se dire mentalement je suis calme. Déjà, ça diminue complètement le stress.

 

La situation de l'audiovisuel. Bon, la dame elle dit là je sens le stress. Évidemment, parce que c'est un problème de temps.

 

L'audiovisuel, on le sait, il faut minuter constamment. Vous êtes en état de stress là ? Non pas du tout, parce que moi je respire abdominalement.

 

Donc je suis en tension vers vous parce que je gère mon stress. Il faut en effet se dépêcher de dire des tas de choses et être clair. Bon, c'est une situation de tension qui n'est pas ordinaire.

 

Mais il faut s'adapter. Et le stress, il faut bien comprendre que le stress, et ne pas confondre le stress et les agents du stress. Le stress c'est une réaction, et là je réponds à votre question maintenant, c'est une réaction normale d'adaptation à des agents stressants.

 

C'est-à-dire une adaptation à une vie fatigante, à une vie encombrée de problèmes difficiles, de responsabilités. Un directeur de banque très stressé par une nouvelle agence, bon, ça peut être comme une femme qui doit s'envoler pour 2-3 jours et tout préparer à la maison. Par exemple, qui a peur d'oublier quelque chose.

 

Bon, alors à ce moment-là, technique, c'est des techniques d'image mentale, de décontraction. Ça c'est simplement pour gérer le stress. Donc il y a des stress.

 

Le stress est une énergie de vie. Ça c'est positif. Le stress, on ne peut pas retirer le stress.

 

Une vie sans stress, calme, mais c'est épouvantable. Vive le stress, mais il ne faut pas exagérer la sur-stimulation là, ça c'est de l'exagération. Donc on le maîtrise, on ne peut pas toujours le maîtriser, parce que bien sûr il y a l'overdose qui peut se produire.

 

Mais en le gérant chaque jour, à chaque jour suffit sa peine. On le gérant chaque jour, on peut maîtriser sa fatigue et son stress, parce que le stress apporte la fatigue, l'anxiété, et aussi perte de mémoire, et c'est pour ça, c'est important, déconcentration, on peut se concentrer parfaitement, il suffit. Voilà, on ne peut pas toujours être en train de dormir, mais il faut aimer la vie, aimer pleurer, aimer rire, aimer les émotions, car les émotions font partie de la vie.

 

Alors ces émotions, elles reviennent souvent dans votre ouvrage, d'abord parce que je suis certaine que dans la mesure où vous avez et fait de la philosophie, et fait du théâtre, vous êtes une femme qui, à un certain nombre de points de votre vie, avait approché des sentiments très différents et très forts. Et ces sentiments, on les perçoit dans ce livre. C'est plus que la sophrologue qui parle, c'est aussi l'écrivain.

 

Est-ce que pour vous, la vie et la sophrologie, c'est d'abord un souci d'authenticité ? Est-ce qu'il faut être vrai pour travailler dans ce sens-là ? Ah oui, je crois que de toute façon, c'est ça qu'il faut travailler.

 

La sophrologie amène à la prise de conscience de soi-même, de ses possibilités, et il faut diriger sa propre vie. Alors, vous voyez, c'est pour ça que la sophrologie n'est pas que l'exercice de certaines techniques. Elle est une sophro-analyse.

 

C'est-à-dire qu'on travaille... La sophrologie, dans sa partie la plus noble, je dois dire, et la plus passionnante, qui me passionne, moi, qui me passionne encore plus que ces exercices que je fais pour aider les gens d'une manière ponctuelle, c'est aussi que chacun, quand il vient dans un cabinet de sophrologue, vient ici pour décider, bon, maintenant, j'en ai marre. J'en ai ras-le-bol, comme on dit, entre guillemets, c'est-à-dire, c'est très lacanien, c'est-à-dire ras-le-bol, ça veut dire vraiment...

 

J'en ai trop dans la tête. Trop, c'est trop. J'en ai plein le dos, ils disent.

 

Ils souffrent de dos, ils souffrent de migraines. Eh bien, maintenant, prenons en main notre vie. Nous prenons-nous en charge parce que nous aimons la vie.

 

Alors, parlons de migraines. Moi, je vous propose un sujet qui est signé le Japon. Alors, les Japonais ont trouvé d'autres systèmes pour enrayer le stress et ça doit faire du bien au sujet aux migraines.

 

Regardez. Il y a plusieurs solutions. Il n'y a pas que la migraine et la sophrologie.

 

[Intervenant 2]

Aujourd'hui, il est scientifiquement démontré que, par exemple, la lavande et la rose ont un effet calmant, le citron et le cyprès, un effet stimulant et le jasmin, un effet relaxant. Et voici le programme type. Citron pour réveiller les employés le matin, suivi d'un léger parfum floral pour favoriser la concentration, repas inodore, parfum boisé pour quelques minutes de relaxation, deuxième petit coup de citron pour éviter tout assoupissement après le déjeuner et parfum floral à nouveau pour un travail sans douleur.

 

Bref, ici, on évolue toute la journée dans une odeur de cabinet propre. Mais qu'en pensent les employés? Ça, c'est très bien comme système.

 

Cette délicacité, c'est la mentalité japonaise. Pas de quoi rire. Les dirigeants de Kajima jurent que l'expérience est positive.

 

Elle a permis de diminuer le stress des employés et d'améliorer leur efficacité au travail. Les secrétaires ont désormais, paraît-il, un rendement supérieur de 15% et font beaucoup moins de fautes de frappe.

 

[Intervenant 1]

Voilà, un moyen très original. Et on retrouve ces éléments extérieurs. Dans votre livre, vous parlez de la voix, vous parlez du corps, pourquoi pas des odeurs?

 

Et j'imagine que la sophrologie peut éventuellement, si on la conduit bien, enfin, je suppose, permettre un état de sérénité. Est-ce que ça peut conduire à la sérénité et en premier lieu peut-être à mieux dormir, par exemple? De toute façon, le problème de sommeil, qui est très grand puisque nous avalons beaucoup de médicaments dans notre société contemporaine, et bien ce problème de sommeil renvoie automatiquement au mal d'être.

 

Il faut savoir pourquoi. Celui qui ne dort pas sait bien à un moment s'il s'analyse, s'il est aidé, s'il est accompagné par le sophrologue au départ. Il sait très bien comment il doit diriger sa vie pour mieux dormir.

 

D'autre part, pour l'autre question de la sérénité, je crois qu'il faut être en accord avec soi-même. Et la sophrologie aide. D'ailleurs, beaucoup d'humilité, j'ai travaillé pendant 4 ans avec que des médecins, dans une formation que de médecins.

 

J'ai eu une chance exceptionnelle, ça je dois dire. Et je vois bien qu'on a beaucoup d'humilité, même ceux qui soignent souffrent aussi, nous souffrons tous. Et notre vie, c'est justement d'épurer tout ce qui n'est pas authentique, les conventions, les habitudes, qui créent des stress.

 

Aller tous les jours, telle date, dans tel endroit, toutes les semaines faire ceci, parce que c'est rituel, mais ça nous embête. On évolue. La vie est une complète évolution.

 

Et il faut comprendre, nous avons beaucoup de divorcés en particulier, qui sont souvent dans le cabinet. Nous avons beaucoup de divorcés, nous avons beaucoup d'enfants séparés. L'enfance des divorcés, c'est très important dans les collèges.

 

Il y a un moment dans votre livre, un enfant vous dit, vous êtes une résoudeuse de problèmes. J'adore cette expression. Je rejoins ce que vous êtes en train de dire.

 

Vous vous sentez résoudeuse de problèmes ? Oui, mais attention, dans une première partie, ensuite, on laisse la personne, d'abord, primo, il ne se soigne que parce qu'il le veut. On ne soigne pas, on accompagne.

 

Et deuxièmement, on laisse la personne pour qu'elle dirige sa vie. C'est ça qui est très important, et qu'elle soit sereine et heureuse, parce qu'en fait, c'est une école du bonheur, la sophrologie. Je vous remercie, Guylaine Manet.

 

On reste encore ensemble quelques secondes. Je voudrais vous montrer justement, en forme de clin d'œil encore, une image du bonheur. Regardez, elle a 100 ans, et elle est en Calédonie, elle est vivante, et on est très heureux de la voir avec nous ce soir.

 

Regardez. Originaire de Vanuatu, elle a vécu toute son enfance et une grande partie de sa vie à Nimea. A 101 ans, le regard est pétillant, le pas alerte et les mots pleins d'humour.

 

La valeur du travail, vous voyez, je suis restée jusqu'à 100 ans, alors, c'est la valeur du travail. Je n'ai jamais été à l'école, vous voyez ? Je ne sais ni lire ni écrire, tel que vous me voyez.

 

Mais j'ai toujours travaillé. J'ai commencé à l'âge de 6 ans à ramasser les herbes dans la cour, tout ça, à balayer la cour, vous voyez ? Et je n'ai jamais été à l'école.

 

Voilà, une belle image pour terminer cette émission. C'était Mémé Moli, que Thérèse Oueya avait rencontrée il y a quelques semaines, pour terminer ensemble sur cette image de sérénité. Je vous remercie d'être venu nous retrouver pendant 20 minutes, nous éclairer sur ce livre.

 

Donc, Vivons l'école autrement par la sophrologie. Toutes vos idées au service de la profession de l'enseignement et au service des enfants et des jeunes. Merci, Guylaine Manet.

 

Merci.

 

[Intervenant 2]

Voilà, merci Lauren Kassai, merci Madame Manet. Donc, il faut respirer avec le ventre, pour ne pas être stressée du tout.

 

[Intervenant 1]

Bien sûr. Et c'est dire, je suis calme.

 

[Intervenant 2]

Je suis calme. Je suis en train de me dire, je suis calme et je respire avec le ventre. Merci Lauren, on vous retrouve le mois prochain.

 

Vous savez déjà ce qu'il y aura dans Alizé ?

 

[Intervenant 1]

Oui, j'espère que nous pourrons recevoir une jeune femme représentative de la communauté vietnamienne. Je ne vous en dirai pas davantage.

 

[Intervenant 2]

D'accord, on en saura beaucoup plus en regardant Alizé le mois prochain. Et je crois que vous viendrez dans Carré-Bleu avec Thierry Rigaud. Voilà, c'est la fin de cette semaine, c'est la fin de cette émission.

 

A partir de mardi prochain, vous avez rendez-vous avec Thierry, toute la semaine prochaine. Gérard Perrier, Pierre Fessel, mardi pour la littérature. Je vous retrouve moi maintenant dans 15 jours pour Carré-Bleu.

 

Bon week-end, bonne semaine et puis à très bientôt. Merci beaucoup à toutes les deux.