Ghylaine Manet
Première sophrologue en France à introduire l'hypnose et l'EMDR dans la sophrologie. Source: Wikipédia
Formatrice en sophrologie, psychanalyste, psychopraticienne FF2P, certifiée EMDR Europe et hypnose Ericksonienne, auteure, conférencière
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Apport de la sophrologie médicale en médecine générale

Étude scientifique par le Dr Rodolphe Schwab, diffusée en 1992. Étude diffusée pour la première fois dans La Revue Sophrologie et Connaissance du Dr Jean Pierre Hubert en 1993 avec un comité scientifique veillant à la bonne tenue des articles.

Écrit par Ghylaine Manet le 27 Mars 2025

Apport de la sophrologie médicale en médecine générale
IMPORTANT

Pour éviter qu'elle se perde et la mettre en lumière, pour plus de lisibilité et afin de chercher plus facilement; pour ces 4 raisons nous avons reformaté cette étude scientifique sur la sophrologie. Nous en avons maintenant une sauvegarde, une transmission du savoir normalisé, la possibilité de copier les parties qui nous intéresse et une lecture didactique.

Cette étude est issue de La Revue Sophrologie et Connaissance éditée de 1993 à 1994, du Dr Jean Pierre Hubert, ami de Ghylaine Manet et l'un des pionniers de la sophrologie en France.

A l'origine, cette étude a été mise en ligne à partir de 1993. Elle provient du site web de l'ancienne Faculté Européenne de Sophrologie, un site web qui n'a pas été mise à jour depuis plus de 30 ans. Vous pouvez la trouver uniquement en version photocopie sur cette page.

RÉSUMÉ

Il est montré comment la sophrologie peut être utilisée par un médecin de médecine générale, dans le cadre de sa clientèle variée. D'un point de vue personnel, l'apprentissage et l'enseignement de la sophrologie est l'occasion d'une grande ouverture: Ouverture vers les autres thérapeutes, venus d'horizons multiples, pratiquant des thérapies diverses, un langage commun existe, pour une finalité identique : une meilleure connaissance de soi, et par suite des autres. Ouverture vers la tolérance. La pratique de la bioénergie avec ses techniques d'enracinement ou grounding apparaît pour le thérapeute comme le complément nécessaire à son équilibre. C'est aussi l'occasion par un travail sur soi, de progresser dans le sens décrit par Alexander Lowen.

 

 

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