Cours à des étudiants sur des cas cliniques particuliers
Ghylaine explique à ses étudiants via des cas clinique la formation pour devenir Sophrologue, la formation sur 3 ans qu'elle a donné pendant des années et qui a donné lieu à de nombreuses certifications.
Écrit par Ghylaine Manet le 20 Janvier 2025

Je parle de cas cliniques, quand quelqu'un vient et qu'il vient pour un problème de sommeil, ne vous contentez pas de peu, cherchez a savoir qu'est-ce qu'il y a derrière, donc bien sûr il y a peut-être des problèmes familiaux, peut-être un problème du couple, de travail par exemple, du harcèlement au travail, aussi il faut penser souvent aux décès, a des accidents de voiture et cetera et cetera donc j'observe.
La personne peut-être légèrement bègue, et je lui dit: J'ai remarqué que vous aviez un débit différent et elle répond oui je mange mes mots. Je peux demander: vous avez certainement été bègue dans votre enfance, empêcher de parler ou parce que vous disiez des choses très importantes pour vous mais comme vous aviez 6 ans tout le monde s'en fichait. Mais c'est triste il faut que je me dépêche la prochaine fois de dire d'abord ce que je veux dire et finalement personne n'entend rien, comprends rien, parce que ils n'ont pas gérer la personne et dans ce cas je donne "Mon sommeil profond" c'est un MP3 gratuit sur mon site et puis on va voir pour la prochaine fois parce que là j'ai pas le temps en une heure de faire quoi que ce soit, alors conclusion ça sera pour la prochaine fois.
Il revient la deuxième fois alors on parle de technique découvrantes, ça veut dire découvrir recouvrir mais quand on veut découvrir, la plupart du temps le sophrologue il ne découvre pas suffisamment et il recouvre tout de suite et c'est une erreur. C'est la métaphore de la fuite, il y a une fuite alors on reçois des amis, on fait une fête, ils vont voir la fuite, bon je vais venir vite quelqu'un qui va venir boucher le trou, arrangé tout ca et on a oublié la cause alors qu'il faut découvrir la cause d'une manière consciente, c'est-à-dire en discutant avec l'inconscient mais aujourd'hui vraiment après toutes mes études, après toutes les thérapies, aujourd'hui je suis psychanalyste et à ce moment-là vous vous allongez sur le divan et pendant 2 ans, et ça prend du temps, et ça prend de l'argent, on paye mais c'est pas ça, c'est bien c'est pas inutile, c'est très intéressant mais aujourd'hui on a plus le temps ; on a plus d'argent à dépenser à ces choses-là qui sont très subtiles et donc on va poser des questions mais quand on a bien étudié l'hypnose Ericksonienne on sait très bien qu'on a pas besoin de mettre les gens hypnose complète, c'est-à-dire selon un protocole précis, mais que sans arrêt on est dans cette dynamique par une partie du lobe gauche du cerveau qui fonctionne et c'est intéressant ce qu'elle raconte avec de la logique du comportement analytique et puis de l'autre coté du lobe, une éruption dans ce qu'on ne pensais pas, dans ce qui ne veut pas être conscient et qui était pris dans l'inconscient. C'est un flash, ça me rappelle le besoin d'être dans une analyse pour aller chercher l'inconscient freudien, il y a aussi l'inconscient Ericksonien qui est l'ensemble, donc séparer l'ensemble des ressources personnelles qui ont été accumulées au fil des années dans des apprentissages entre l'inconscience et l'inconscient, l'inconscient c'est ce qu'on ne connaît pas, sauf que ce qu'on ne connaît pas peu intéresser tout ce qui est négatif avec des conflits avec des parents c'est sûr mais aussi tout ce qu'on a emmagasiné; Voir les ressources possibles.
C'est ce que je fais dans des cas difficiles comme là j'ai eu hier une femme qui a été violé, et elle etait complètement bloqué. Elle a 20 ans, et la seule chose à faire c'est d'essayer de prendre contacte avec elle. Elle ne me regardait pas et du coup j'ai fais un peu le clown et elle a rit et après on a pu travailler un tout petit peu ; c'est pas le moment de faire le lien tout de suite et je lui ai parlé de est-ce que tu te souviens de quelque chose qui était très agréable? Un bon petit souvenir ? Dans la nature, la campagne, et elle m'a dit : La plage. J'ai donc pris contact avec elle. Je lui ai fait une séance de 20 minutes pour chercher des ressources positive et c'est très proche de ce qu'on fait en sophrologie, tu appels l'inconscient, tu vas chercher le réservoir des ressources alors que Freud lui va chercher le conflit, la psychose, mais c'est pas la peine de commencer tout de suite donc pour vous dire que même dans un cas très difficile, plus la personne arrive dans un état de souffrance plus il faut vite réactiver l'inconscient parce que c'est ça l'urgence.
Durée : 17:15 - Taille : 174Mo